menu Menu
Pour un premier mai unitaire, populaire et progressiste : le pain, la paix, la liberté !
La situation devient critique. Chaque jour un peu plus le mode de production capitaliste montre les effets de sa crise. Chaque jour il détruit un peu plus les conditions d'existence de ceux qu'il exploite. Chaque jour il se déploie dans la guerre et l'impérialisme.
Par Collectif Publié in #POSITIONS le 30 avril 2024 2 min de lecture
Précédent Kobanê, quand la défaite de Daesh crève l'écran Suivant

Pour un premier mai unitaire, populaire et progressiste : le pain, la paix, la liberté !

La situation devient critique. Chaque jour un peu plus le mode de production capitaliste montre les effets de sa crise. Chaque jour il détruit un peu plus les conditions d’existence de ceux qu’il exploite. Chaque jour il se déploie dans la guerre et l’impérialisme.

La question palestinienne devient une ligne de démarcation partout dans le monde. Les États complices multiplient la répression à l’égard de ceux qui ont choisi de se tenir du côté des opprimés, du côté d’un peuple qui depuis plus de 70 ans est dépossédé de sa terre, de ses droits, et de son humanité. Apologie du terrorisme, instrumentalisation de la lutte contre l’antisémitisme, complicité avec le terrorisme, islamistes, tout est bon pour enterrer médiatiquement et juridiquement ceux qui persistent à contester le génocide qui se déroule devant leurs yeux.

Partout le capitalisme en crise, par les pénuries qu’il crée, affame, affaiblit, oppresse et violente. La résistance éparse qu’il trouve face à lui est martyrisée, l’opposition organisée est interdite. L’État de droit, n’est plus que droit de l’État et désormais le règne de l’arbitraire nous emmène progressivement vers un fascisme qui dit de plus en plus son nom. Nous pensons solidairement à nos camarades et amis intimidés, menacés, et poursuivis par la justice, la police, force et plein soutien à eux.

Face à cela notre objectif est double, construire un chemin de sortie progressiste de cette crise mais surtout, immédiatement, construire un bloc solidaire de résistance, de solidarité, contre la violence de l’ennemi. Nous ne pouvons plus attendre et espérer passivement, notre seul espoir se trouve dans nos mains, dans nos luttes.

C’est pourquoi comme bien d’autres camarades nous appelons à ce que ce 1er mai 2024 soit le point de départ d’un front unique, antifasciste et progressiste !

Puisse celui-ci permettre ce que d’autres, dans une situation analogue, ont tenté et réussi : le pain, la paix, la liberté.

C’est bien de ses trois conditions essentielles à l’émancipation humaine dont nous prive ce mode de production dégénéré. Faisons front pour mettre fin à ce dernier et ainsi : conquérir nos libérations !


Précédent Suivant